Dysfonction érectile et hypertension artérielle : aspect épidémiologique au service de cardiologie de l’Hôpital National Ignace Deen.
Erectile dysfunction and arterial hypertension: epidemiological aspect at the cardiology department of Ignace Deen National Hospital.
M BEAVOGUI , MD BALDE , EY BALDE , MB BALDE , AMM BAH , A KONE.
RESUME
Introduction: La dysfonction érectile (DE) est définie comme l’incapacité d’obtenir ou de maintenir une érection suffisante pour permettre une activité sexuelle satisfaisante pendant au moins 3 mois.
L’objectif de ce travail était de déterminer la prévalence de la DE et les facteurs de risque associés chez des patients hypertendus suivis au service de cardiologie de l’hôpital National Ignace Deen.
Patients et méthodes :Il s'agissait d'une étude prospective descriptive de type transversal menée chez 112 patients hypertendus pendant la période du 09 Janvier au 08 Août 2017. La fonction érectile a été évaluée par l'International Index of Erectile Function (IIEF-5). En fonction des résultats les patients ont été classés en 5 catégories :
- Fonction érectile normale score entre 21-25 points ;
- Dysfonction érectile légère : score entre 16-20 points ;
- Dysfonction érectile modérée : score entre 11-15 points ;
- Dysfonction érectile sévère score entre 1-4 points.
Résultats : L’âge moyen des patients était de 61±0,5 ans. La durée moyenne d’évolution de l’hypertension artérielle (HTA) se situait entre 1 et 5 ans.
LHTA était traitée par les inhibiteurs de l’enzyme de conversion (51,47%), les inhibiteurs calciques (47,06%), les β-Bloquants (25%), les Diurétiques (20,24 %.) et les ARAII (2,94%).
La prévalence de la DE était de 60,7%.La DE était légère dans 13,24%, modérée dans48,53%, et sévère dans38,24%. Le score IIFE moyen était de 12. La prévalence de la DE augmentait avec l'âge (p=0,006), le grade (p=0,007) et la durée de l'HTA (p=0,03). La DE était significativement plus fréquente en présence du diabète (p = 0,01), de l'obésité abdominale (p=0,02), de la dyslipidémie (p=0.5) et du Tabagisme (p=0.05)
CONCLUSION : La prévalence élevée de la DE observée dans cette étude augmente avec l'âge, la durée de l'HTA, la présence de diabète et l'obésité abdominale. La DE doit être systématiquement recherchée chez les patients 'hypertendus surtout en présence des autres facteurs de risque cardiovasculaires.
MOTS CLES
Dysfonction érectile, HTA, facteurs de risque cardiovasculaire.
SUMMARY
Introduction: Erectile dysfunction (ED) is defined as the inability to obtain or maintain an erection sufficient for satisfactory sexual activity for at least 3 months.
The objective of this study was to determine the prevalence of ED and associated risk factors in hypertensive patients followed at the cardiology department of the National Ignace Deen Hospital.
Patients and methods: This was a prospective, descriptive and cross-sectional study conducted in 112 hypertensive patients during the period from January 09 to August 08, 2017. Erectile function was assessed by the International Index of Erectile Function (IIEF-5). Based on the results, patients were classified into 5 categories:
- Normal erectile function score between 21-25 points;
- Mild erectile dysfunction: score between 16-20 points;
- Moderate erectile dysfunction: score between 11-15 points;
- Severe erectile dysfunction score between 1-4 points.
Results: The mean age of the patients was 61±0.5 years. The mean duration of Hypertension (AH) was between 1 and 5 years.
Hypertension was treated with ACE inhibitors (51.47%), calcium channel blockers (47.06%), β-Blockers (25%), Diuretics (20.24 %.) and ARBs (2.94%) Angiotensin Receptors Blockers.
The prevalence of ED was 60.7%.ED was mild in 13.24%, moderate in 48.53%, and severe in 38.24%. The mean IIFE score was 12. The prevalence of ED increased with age (p=0.006), grade (p=0.007) and duration of hypertension (p=0.03). ED was significantly more frequent in the presence of diabetes (p=0.01), abdominal obesity (p=0.02), dyslipidemia (p=0.5) and smoking (p=0.05).
Conclusion: The high prevalence of ED observed in this study increases with age, duration of hypertension, presence of diabetes and abdominal obesity. ED should be systematically investigated in hypertensive patients, especially in the presence of other cardiovascular risk factors.
KEY WORDS
Erectile dysfunction, hypertension, cardiovascular risk factors.
Service de cardiologie de l’Hôpital National d’Ignace Deen
Adresse pour correspondance
BEAVOGUI Mariama
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
INTRODUCTION
La dysfonction érectile (DE) est définie comme l’incapacité d’obtenir ou de maintenir une érection suffisante pour permettre une activité sexuelle satisfaisantes pendant au moins 3 mois [1]. La prévalence de la DE était dans le monde de 152 millions d’hommes en 1995 et l’on estime qu’elle touchera plus de 320 millions d’hommes en 2025[1].
La DE est un motif de consultation souvent révélateur de l’existence de facteurs de risque cardiovasculaires (FRCV)[2].
La célèbre Massachusetts Male Aging Study (MMAS) du groupe de Boston a montré que la DE était plus fréquente chez les sujets qui présentent des FRCV associés [3]. Ainsi l’hypertension artérielle (HTA) ou l'administration d'un traitement antihypertenseur double le risque relatif de DE[3]. Pour rappel, ce risque est triplé chez l’homme de plus de 60 ans, multiplié par 2 chez le tabagique et par 1,5 en cas de surcharge pondérale[3].
La DE est souvent associée à des comorbidités, qu’elle peut aussi révéler ; en l’occurrence le DIABETE. En effet selon les études ,20 à 67,4 % des hypertendus-diabétiques souffrent de DE, surtout ceux dont l’ancienneté du diabète est importante [4] :
La prévalence de la DE chez les diabétiques varie de 20 à 67,4 % selon les études [4]. Le risque de DE augmente avec l’ancienneté du diabète dans le type2 [4].
Dans les pathologies cardiovasculaires la DE est un marqueur de la maladie endothéliale et sa prévalence augmente chez les patients ayant une MCV établie, de même que chez les patients ayant une dyslipidémie [4].
En France en 1994 une étude réalisée sur 1000 hommes de 18 ans et plus a montré 45% des problèmes d'érection, dont 11% au moins une fois sur deux, avec une corré1ation avec l'âge (4% entre 30 et 39 ans - 25% après 65 ans) [4]. En Afrique les données épidémiologiques sur la DE sont rares. Celles disponibles sont issues des statistiques hospitalières [2].
Au Sénégal la prévalence de la DE est estimée à 26% [2].
Au Togo une étude réalisée sur 100 hypertendus avec un âge moyen de 53,3± 10,3 ; la prévalence de la DE était de 53% dont 32% de la DE légère, 18% de DE modérée et 3% de DE sévère [5]. En Guinée Diallo MM dans sa thèse de Doctorat avait rapporté 60% de DE chez les hémodialysés de l’hôpital National Donka [6].
PATIENTS ET METHODES
Il s’agissait d’une étude descriptive de type transversal d’une durée de 7 mois (09 janvier au 08 Aout 2017), qui a concerné tous les patients de sexe masculin vus en consultation au service de cardiologie pour une HTA. Nous avons inclus les patients hypertendus sans antécédents urologiques, de chirurgie pelvienne récente, ayant accepté librement de participer à l’étude. Le recrutement a été exhaustif. . Les paramètres étudiés étaient : les données sociodémographiques, la durée d’évolution de l’HTA, les facteurs de risque associés, les traitements antihypertenseurs antérieurs ou en cours. La fonction érectile a été évaluée avec l'International Index of Erectile Function (IIEF-5).
L’évaluation de la DE a été faite par le questionnaire IIEF-5 ci-dessous :
QUESTIONNAIRE IIEF-5
Parmi les réponses à chaque question, veuillez choisir celle qui décrit le mieux votre situation (en cochant la case correspondante) prière de n’indiquer qu’une seule réponse par question.
Au cours des 6 derniers mois :
I - À quel point étiez-vous sûr de pouvoir avoir une érection et de la maintenir ?
1. Pas sûr du tout
2. Pas très sûr
3. Moyennement sûr
4. Sûr
5. Très sûr
II - Lorsque vous avez eu des érections à la suite de stimulations sexuelles, avec quelle fréquence votre pénis a-t-il été suffisamment rigide (dur) pour permettre la pénétration ?
0. Je n’ai pas été stimulé sexuellement
1. Presque jamais ou jamais
2. Rarement (beaucoup moins que la moitié du temps)
3. Quelquefois (environ la moitié du temps)
4. La plupart du temps (beaucoup plus que la moitié du temps)
5. Presque tout le temps ou tout le temps.
III- Lorsque vous avez essayé d’avoir des rapports sexuels, avec quelle fréquence avez-vous pu rester en érection après avoir pénétré votre partenaire?
0. Je n’ai pas essayé d’avoir des rapports sexuels
1. Presque jamais ou jamais
2. Rarement (beaucoup moins que la moitie´ du temps)
3. Quelquefois (environ la moitié du temps)
4. La plupart du temps (beaucoup plus que la moitié du temps)
5. Presque tout le temps ou tout le temps
IV-Pendant vos rapports sexuels, à quel point vous a-t-il été ´difficile de rester en érection jusqu’à la fin de ces rapports ?
0. Je n’ai pas essayé d’avoir des rapports sexuels
1. Extrêmement difficile
2. Très difficile
3. Difficile
4. Un peu difficile
5. Pas difficile
V-Lorsque vous avez essayé d’avoir des rapports sexuels, avec quelle fréquence en avez-vous été satisfait ?
0. Je n’ai pas essayé d’avoir des rapports sexuels
1. Presque jamais ou jamais
2. Rarement (beaucoup moins que la moitié du temps)
3. Quelquefois (environ la moitié du temps)
4. La plupart du temps (beaucoup plus que la moitié du temps)
5. Presque tout le temps ou tout le temps
Degrés de dysfonction érectile
En fonction de l’évaluation de la fonction érectile par l’indice international de la fonction erectile-5 (IIEF-5) nous avons cinq (5) types de patients:
a. Fonction érectile normale : score entre 21-25 points
b. Dysfonctionnement érectile léger : score entre 16-20 points.
c. Dysfonctionnement érectile modéré : score entre 11-15 points.
d. Dysfonctionnement érectile sévère : score entre 5-10 points.
e. Non interprétable ou inclassable : score entre 1 et 4.
Saisie, Analyse et présentation
Les données ont été saisies, analysées à l’aide des logiciels Microsoft Word ; Excel ; Epi info 7.0 et présentées à l’aide du logiciel Power Point.
Les tests du Chi2 et de Fisher ont été utilisés avec des seuils de significativité statistique inférieur à 5%.
RESULTATS
Parmi les 112 patients inclus, 68 soit 60.71% présentaient une DE. L’âge moyen était de 61 ± 0.5 ans. Plus de la moitié des patients (57.36%), étaient âgés de plus de 60 ans. La durée moyenne d’évolution de l’HTA était de 1± 5 ans. Elle était de grade I (32.35%), de grade II (39.71%), de grade III (16.18%). Les facteurs de risque associés étaient hormis l’âge : les dyslipidémies (22.06 %), le diabète (19.12%), l’obésité (17.65%), le tabagisme (14.7%). Une association d’au moins 2 facteurs de risque avait été retrouvée dans 58.88% des cas.
L’HTA était traitée par les inhibiteurs de l’enzyme de conversion (51,47%), les inhibiteurs calciques (47,06%), les β-Bloquants (25%), et les diurétiques (20.24%). Seuls 11.6% des patients avaient une HTA équilibrée. La fréquence de la DE était de 60,7%. La DE était légère dans 13,24%, modérée dans 48,53%, et sévère dans 38,24%. Le score IIFE moyen était de 12. La fréquence de la DE augmentait avec l'âge (p=0,006), le grade (p=0,007) et la durée de l'HTA (p=0,03). La DE était significativement plus fréquente en présence du diabète (p = 0,01) et de l'obésité (p=0,02). Le tabagisme (p=0,05) Contrairement à la dyslipidémie (p=0,5)
DISCUSSION
La fréquence élevée de la DE (60.7%) retrouvée dans cette étude est comparable à celle rapportée par DIALLO MM à Conakry [6], mais est plus élevée que celles de Pessinaba S, et coll au Togo [5], et Ossou P.M.et coll au Congo Brazzaville [13] qui avaient retrouvé respectivement 53 % et 51,92%. Des prévalences plus fortes sont rapportées par ANGWAFO et col à Yaoundé [1] avec 90,36% et EL ACHHAB Y.et coll au Maroc [18] 82%. Malgré ces disparités, ces résultats confirment tous la relation entre la DE et l’HTA.
L’âge moyen des patients était 61± 0,5 ans avec des extrêmes de 28 et 82 ans. Nos patients sont plus âgés que ceux des séries de Pessinaba .S, et coll [5] 53,3 ± 10,3 ans avec des extrêmes de 30 et 78 ans et DIALLO MM [6] 47,6 ans avec des extrêmes de 24 et 73 ans.
La plus forte proportion de sujets présentant une DE se retrouve dans la tranche d’âge de 60 à 70 ans avec 4,12%. Ces résultats sont conformes aux données de la littérature qui indiquent qu’entre 40 à 70 ans le risque de DE est multiplié par 2 à 4 et l’âge seuil semble se situer entre 50 et 60 ans. (6). En dehors de l’âge, les dyslipidémies (22.06%) le diabète (19.12%) et l’obésité (17,65%), étaient les principaux facteurs de risque associés.
Le score de l’IIFE-5 était de 12. Le score diminuait de façon progressive avec l’âge (p=0,06), le grade (p=0,76) et la durée de l’HTA (p=0,3). La prévalence de la DE augmentait avec l’âge,la durée l’évolution et le grade de l’HTA.Ces résultats sont comparables à ceux trouvés par Pessinaba S et coll[5], et pourrait s’expliquer par la ressemblance de nos populations dans le contexte africain.
Selon l’IIFE-5 la DE était légère chez 13,24%, modérée chez 48,53% et sévère chez 38,24%.
Les taux rapportés par Pessinaba S. et coll[5] sont plus élevés pour la DE légère (32%), et plus faibles pour la DE modérée et sévère avec 18 et 3%. La présence du diabète était associée à la sévérité de la DE : 30,77% DE sévères ont été observées chez des diabétiques.
La sévérité de l’HTA semble également corrélée à la présence de DE : 39,71% des patients avaient une HTA de grade II, résultat superposable à celui rapporté par Pessinaba S. et coll [5] avec 35% d’HTA de grade II.
Une association d’au moins 2 facteurs de risque cardiovasculaires a été retrouvée chez 58,88% des patients avec une DE.
Les IEC et les IC étaient les antihypertenseurs les plus utilisés avec 51,47% (P=0,10) et 47,06% (p=0,09%). Il s’agit de médicaments largement utilisés en cardiologie, surtout chez ce groupe de patients polyvasculaires.
CONCLUSION
La Dysfonction érectile est fréquente chez les patients hypertendus. Cette fréquence augmente avec l'âge, la durée d'évolution, le grade de l'HTA, et la présence d’autres facteurs de risque cardiovasculaire.
Il est important de rechercher systématiquement une dysfonction érectile chez les patients hypertendus âgés, présentant d’autres facteurs de risque cardiovasculaires.
Tableau 1
Principales caractéristiques des patients (n= 68).
Variables |
Moyenne |
Minimal |
Maximal |
Age moyen |
61±0,5 |
28 |
82 |
IMC (KG/m²) |
28 |
17,5 |
36 |
Tour de taille |
92 |
65 |
115 |
Taille |
1,72 |
1,6 |
1,86 |
Tableau 2
Sévérité de la DE selon l’IIEF-5
Sévérité DE |
Effectifs |
Pourcentage |
|
DE légère |
9 |
|
13.24 |
DE modérée |
33 |
|
48.53 |
DE sévère |
26 |
|
38.24 |
Total |
68 |
|
100 |
Tableau 3
Fréquence de la DE selon la présence ou non d’autres FDR cardiovasculaires
Facteurs de risque |
DE |
|
|
|
NON |
OUI |
P |
Âge |
75% |
86,76% |
0,01 |
Obésité |
33,33% |
66,67% |
0,01 |
Atcdt de DE dans la famille |
15 ,91% |
26,47% |
0,02 |
Dyslipidémie |
15,91% |
22,06% |
0,05 |
Diabète |
6,82% |
19,12% |
0,01 |
Tabac |
18,18% |
14,71% |
0,05 |
Tableau 5
Fréquence de DE et l’IIFE moyen en fonction de la tranche d’âge,
du grade et de la durée d’évolution de l’HTA.
Variables |
DE (%) |
P |
IIFE moyen |
P |
Tranches d’âge |
|
0,006 |
|
0,03 |
<30 |
1,47 |
|
16 |
|
30 - 40 ans |
4,41 |
|
12 |
|
40 - 50 ans |
8,82 |
|
12 |
|
50 - 60 ans |
27,94 |
|
14 |
|
60 - 70 ans |
44,12 |
|
12 |
|
≥ 70 ans |
13,24 |
|
7 |
|
Grade HTA |
|
0,007 |
|
0,02 |
Grade I |
32,35 |
|
12 |
|
Grade II |
39,71 |
|
12 |
|
Grade III |
16,18 |
|
11 |
|
Durée d’HTA |
|
0,03 |
|
0,02 |
1 - 5 ans |
42,65 |
|
12 |
|
5 - 10 ans |
23,53 |
|
12 |
|
10 - 15 ans |
22,06 |
|
11 |
|
≥ 15 ans |
11,76 |
|
9±0,5 |
|
Tableau 5
Répartition des patients ayant une DE selon le traitement reçu
Molécules |
Pourcentage |
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC) |
51,47 |
Inhibiteurs calciques |
47,06 |
Diurétiques |
20,24 |
B-bloquants |
25 |
ARA-II |
2,94 |
REFERENCES
1. Cordier G.et Coll. Prévalence et sévérité de la dysfonction érectile dans une population d’insuffisants coronariens : étude monocentrique. Progrès en urologie (2008)18, 595—600.
2. Leye M.M.M., A. Faye, O. Ka, I. Seck, A. Tal Dia. Facteurs de risque cardiovasculaires associés au dysfonctionnement érectile dans la région de Dakar, Sénégal. + Models RESPE-865; No. of Pages 6.
3. Stephan D. , S. Gaertner, C. Bertrand, J. Quelet. Dysfonction érectile et traitement antihypertenseur. Andrologie 2008, 18 : 137-139.
4. Marcelli F. Quels examens paracliniques restent nécessaires en cas de dysfonction érectile ? mt Médecine de la Reproduction, Gynécologie Endocrinologie 2011 ; 13 (suppl´ ement 1) : 24-9.
5. S. Pessinaba, et coll. La dysfonction érectile chez l’hypertendu togolais: étude transversale chez 100 patients dans le Service de Cardiologie du CHU Campus de Lomé . Pan African Medical Journal. 2015; 21:47 doi:10.11604/pamj.2015.21.47.5401.
6. Diallo M M : Dysfonction érectile chez les patients hémodialysés : Aspects épidémiologique clinique au Centre National d’Hémodialyse de Donka. Université de Conakry. Service d’Hémodialyse du CHU de Conakry. 2016. P.66.
7. Bouya A.P. · A.W.S. Odzebe · R. MayalaMaognan · A.M. OndongoAtipo · N. Andzouana · H.G. Monabeka. La dysfonction érectile au Congo : premières données sur la fréquence de ce motif de consultation et profil clinique au centre hospitalier universitaire de Brazzaville. Andrologie (2012) 22:92-95.
8. Ossou-Nguiet P.M., et coll. Dysfonction érectile après un accident vasculaire cérébrale à Brazzaville.
9. Philippe F., P. Bondil. La dysfonction érectile, un nouveau symptôme pour le cardiologue. Annales de Cardiologie et d’Angéiologie 55 (2006) 187–191. Revue neurologique 168 (2012) 538– 542.
10. Cordier G. et Coll. Prévalence et sévérité de la dysfonction érectile dans une population d’insuffisants coronariens : étude monocentrique. Progrès en urologie (2008)18, 595—600.
11. Buvat J. C. Bonnin ∙ P. Bouilly : Dysfonction érectile. Androl. (2010) 20:159–63.
12. Colson M.-H. Dysfonctions sexuelles de la maladie chronique, l’état des lieux. Première partie : fréquence, impact et gravité. Modele + SEXOL-549; No. of Pages 8.
13. Cost A P. Christophe A, Laurent W. Dysfonction érectile : connaissances, souhaits et attitudes. Résultats d’une enquête française réalisée auprès de 5.099 hommes âgés de 18 ans à 70 ans. Progrès en Urologie (2003), 13, 85-91.
14. Dominique D. Epidémiologie de la dysfonction érectile (1ère partie). Prévalence et incidence mondiales. Andrologie 2002, 12, N°2 167- 185.
15. Francis D, Thierry L, Alain G, Marqueur précoce d'atteinte cardio Catherine T, Henry B : La dysfonction érectile, un -vasculaire. Andrologie 2006, 16, N°1 24-27.
16. Angwafo III F. F., E. Eimo Malonga, M. Poyi Kamdem. Profil des patients ayant une dysfonction sexuelle masculine l'Hôpital Général de Yaoundé. Andrologie (2000), 10, n° 2, 215-219.
17. Bondil P. L’approche clinique d’une dysfonction érectile est encore, et plus que jamais, nécessaire. mt Médecine de la Reproduction, Gynécologie Endocrinologie2011 ; 13 (supplément 1) : 13-23 doi:10.1684/mte.2011.0328.
18. Sekoranja L. F. Bianchi-Demicheli, J.-M. Gaspoz, F. Mach. Insuffisance cardiaque et dysfonctions sexuelles. Rev Med Suisse 2008; 4: 763-7.